Découverte des étapes du "RUN" (pilotage par ordinateur)

 

Le mode "RUN": qu'est ce que c'est?

Etape n°1: connexion à la centrale

Etape n°2: premières opérations élémentaires

Etape n°3: configuration des aiguillages

Etape n°4: configuration des détecteurs

Etape n°5: le mode "RUN TCO"

Etape n°6: configuration et étalonnage de vitesse des trains

Etape n°7: le mode "RUN" complet / réseau piloté par CDM-Rail

 

ET FINALEMENT POUR PLUS DE DETAILS ...

 

================================================================================================

 

LE MODE "RUN": QU'EST-CE-QUE C'EST?
=====================================

Cette section aborde le vaste sujet du pilotage du réseau par ordinateur.
Mais avant d'en arriver là, il est important de rappeler qu'on peut distinguer trois niveaux différents d'exploitation
de réseaux numérisés:

  • Le PREMIER NIVEAU est celui qui est proposé dans les coffrets de départs numériques:
    une centrale,
    une ou plusieurs commandes manuelles,
    et on contrôle les trains "à vue", sans sécurité de cantons
    .
    Le câblage est alors très simple, et l'ensemble peu coûteux.

    A ce niveau, ce que peut apporter CDM-Rail, c'est la création de contrôleurs de vitesse "logiciels"
    supplémentaires, ainsi qu'une interface de programmation des CVs.
    Seule les étapes 1 (connexion à la centrale), et 2 (premières opérations élémentaires) sont utiles.

  • Le DEUXIÈME NIVEAU consiste à ajouter la commande des aiguilles depuis l'écran du PC.
    Il faut toutefois rajouter des décodeurs d'accessoires, contrôlables depuis la centrale, pour commuter
    les moteurs d'aiguilles.

    A ce niveau, à partir du moment où le réseau a été dessiné sous CDM-Rail, le logiciel permet de contrôler
    l'état des aiguilles par simple clic à la souris sur les aiguillages, à l'écran.
    Voir les étapes 3 (configuration des aiguilles) et 5 (mode "RUN TCO").

  • Enfin, le TROISIÈME NIVEAU (MODE "RUN") consiste à assurer l'ensemble de la sécurité (par cantons)
    du réseau depuis le logiciel. Cette phase est plus contraignante, et coûteuse, car il faut mettre en place les
    zones de détection sur chaque canton.
    Ces zones de détections sont reliées à des modules de rétrosignalisation, qui, pour les réseaux importants,
    constituent souvent l'élément de coût principal. Et le câblage, qui était très simple en première approche,
    devient plus complexe.
    Pour ce dernier niveau, voir les étapes 4 (configuration des détecteurs), 6 (étalonnage de vitesse des trains),
    et 7 (mode RUN complet: pilotage du réseau depuis CDM-Rail).

 

Donc, on le voit, le mode RUN complet met en jeu un grand nombre d'opérations de préparations:

  • Des simulations intensives, pour vérifier la fuidité du trafic, et l'efficacité du cantonnement,

  • Le choix de l'ensemble du système digital (centrale, décodeurs d'aiguilles, modules de rétrosignalisation).

  • Le choix de la stratégie de détection, avec une seule zone par cantons ou deux.
    CDM-Rail est l'un des deux seuls logiciels à pouvoir gérer la sécurité avec une seule zone de détection
    par canton.

  • Un câblage soigné du réseau qui reste la clé d'un bon fonctionnement.

RETOUR EN DEBUT DE PAGE

|

|

|

|

|

ETAPE n°1: CONNEXION A LA CENTRALE
======================================

 

Les centrales supportées à ce jour sont:

  • Toutes les centrales Lenz (protocole Xpressnet),

  • L'Intellibox I Uhlenbrock (protocole P50X),

  • La Twin Center Fleischmann (protocole P50X),

  • La Multimaus Roco et son ampli, avec l'adjonction du GenLIS88 de Paco, ou du XIS88 (protocole Xpressnet),

  • Le SPROG, qui peut être complété par le LDT HSI88 / HSI88-USB pour la rétrosignalisation (protocoles spécifiques),

  • L'ECOS ESU (protocole spécifique).

L'accès à une centrale (ou "serveur") se fait depuis la barre de menu principal.
(Onglet "Interface" >> "Démarrer un serveur")

La liste des serveurs disponibles s'affiche alors dans une nouvelle fenêtre

Sélectionner le serveur souhaité dans la fenêtre de liste déroulante, et cliquer sur OK.

Selon le serveur sélectionné, la connexion peut se faire à ce niveau, ou bien une fenêtre supplémentaire d'options peut s'afficher.

Dans le cas d'une liaison par port "COM", ou port "USB", la recherche du numéro de port est automatique.
Si la connexion échoue, un message explicite d'erreur l'indique.
Si elle aboutit, une fenêtre s'affiche, et indique le type de serveur, la vitesse de la liaison série, et le numéro de version du serveur.


Cliquer pour agrandir

 

RETOUR EN DEBUT DE PAGE

|

|

|

|

 

 

ETAPE n°2: PREMIERES OPERATIONS ELEMENTAIRES
=================================================

Les opérations suivantes sont possibles après connexion à la centrale:

  • Création de un ou plusieurs contrôleurs de trains

  • Programmation des CVs

  • Arrêt et redémarrage de la centrale

 

CREATION D'UN CONTROLEUR DE TRAIN
(Onglet "Interface" >> "Créer un nouveau contrôleur de train ")

Le contrôleur apparaît avec une adresse initiale à 0 (champ #).
Il faut écrire dans ce même champ l'adresse de la loco à contrôler.
A partir de là, la vitesse et les fonctions 0 à 12 de la loco peuvent être contrôlées.
Le contrôleur peut être réduit en taille (environ au 1/3 de la hauteur par défaut).

 

PROGRAMMATION DES CVs
(Onglet "Interface" >> "Programmation des CVs ")


Cliquer pour agrandir

 

RETOUR EN DEBUT DE PAGE

|

|

|

|

|

ETAPE n°3: CONFIGURATION DES AIGUILLES
==========================================

Les opérations de CONFIGURATION consistent à affecter des adresses cohérentes:

  • d'une part sur le matériel digital (décodeur embarqué pour les locos, décodeurs d'accessoires pour les aiguilles,
    les signaux, et les actionneurs, et modules de rétrosignalisation)

  • et d'autre part sur le logiciel pour qu'il puisse envoyer les commandes au bon décodeur ou récupérer les
    informations de détection depuis les bons modules.

Ces opérations ne servent que si on se connecte à une centrale. Elles n'ont aucune utilité en mode simulation.

Quel que soit le type de configuration, il faut toujours passer par l'onglet "Configuration" de la barre de menu principal

  • Configuration de train

  • Configuration d'aiguillage

  • ...

La barre d'outils commune à toutes ces opérations de configuration comporte 5 groupes de 4 icônes, pour chacun
de types de configuration( locos, aiguillages, signaux, détecteurs, actionneurs).

Dans chaque groupe,

  • la première icône (bleue) permet de fixer les paramètres de configuration (adresse, ...)

  • la deuxième icône permet de tester le fonctionnement de l'article en configuration

  • Les deux icônes grises permettent de visualiser les éléments configuré, ou non configurés.

 

Pour cette première approche, seules les configurations d'aiguilles, de détecteurs, et de locos seront abordées.
Mais les configurations de signaux et d'actionneurs sont aussi opérationnelles, et compatibles avec les
décodeurs du marché.

 

CONFIGURATION DES AIGUILLAGES

Pour passer en configuration d'aiguillage, il faut donc cliquer sur la première icône (bleue) du deuxième
groupe d'icônes, sélectionner l'aiguille à configurer, et lui affecter une adresse.

Le mode test (icône verte du groupe), accessible après connexion à un serveur (centrale), affiche une fenêtre similaire, avec des boutons qui permettent de tester les changements de position de l'aiguille.

RETOUR EN DEBUT DE PAGE

|

|

|

|

|

ETAPE n°4: CONFIGURATION DES DETECTEURS
===========================================

La configuration des détecteurs est similaire à celle des aiguilles, mais elle vient en général beaucoup plus tard
dans le temps, car le câblage des modules de détection (ou rétrosignalisation) est une tâche longue.

CDM-Rail gère deux types de rétrosignalisation:

  • la rétrosignalisation "RS/Lenz",

  • la rétrosignalisation "S88/S88N".

Le type de rétrosignalisation choisi doit être spécifié dans le menu d'options de RUN
(Onglet "Options" >> "RUN")

Puis, on appelle le menu de configuration de détecteurs
(Onglet "Configuration" >> "Détecteurs")

Et dans la barre d'outils de configuration qui apparaît, ...

... on clique sur la première icône (bleue) du 4ème groupe d'icônes.

On peut ensuite affecter, une par une, les adresses des symboles de détection, préalablement positionnés avec le même éditeur que celui utilisé pour les signaux. Lorsqu'on affecte une adresse, l'adresse du symbole de détection situé en vis-à-vis (de l'autre côté de la zone de détection) est automatiquement mise à la même valeur.

Dans l'exemple suivant, il s'agit d'une rétrosignalisation RS-Lenz, qui par convention, démarre à partir de l'adresse 513.
Dans le cas d'une rétrosignalisation S88/S88N, l'adressage démarrerait de 1.

 

Le mode test (icône verte du groupe), accessible après connexion à un serveur (centrale), affiche une fenêtre similaire.

Dans ce mode, si on fait circuler une loco sur le réseau, on voit s'allumer les zones de détection en fonction de la position de la loco, ce qui permet une vérification visuelle de la cohérence des adresses de détections réelles (sur les modules de détection du réseau), et sur CDM-Rail.

 

 

RETOUR EN DEBUT DE PAGE

|

|

|

|

|

ETAPE n°5: MODE "RUN TCO"
============================

Le mode "RUN TCO" n'est pas un vrai mode "TCO" dans la mesure où la sécurité par cantons n'est pas assurée.


Il permet:

  • de contrôler l'état des aiguilles par simple clic de souris,

  • de visualiser l'état d'occupation des zones de détections, au fur et à mesure de la progressions des trains.

Bien s'assurer que l'affichage des détecteurs et l'affichage des zones de détection
est validé dans le menu d'option de RUN (Onglet "Options" >> "Run" )

 

 

Pour passer en mode "RUN TCO", il faut:

  • se connecter à une centrale : Onglet "Interface" >> "Démarrer un serveur",

  • lancer le mode RUN, sans avoir placé de trains à l'écran: Onglet "Exécuter" >> "Passer en mode Run"

  • Les trains peuvent être contrôlés soit par manette matérielle, soit par des contrôleurs logiciels créés avant
    de lancer le "RUN".

L'aspect à l'écran est très semblable à ce qu'on voit en mode test de configuration de détecteurs
(voir section précédente), à savoir que les zones détectées sont redessinées en blanc, pour indiquer la présence
d'une loco ou d'un wagon avec essieu conducteur.

La différence est la possibilité de contrôler l'état des aiguilles par la souris, et aussi l'affichage du menu de RUN.

 

RETOUR EN DEBUT DE PAGE

|

|

|

|

|

ETAPE n°6: CONFIGURATION ET ETALONNAGE DE VITESSE DES TRAINS
=================================================================

Pour configurer l'adresse d'un train:
(Onglet "Configuration" >> "Trains")

Et dans la barre d'outils de configuration, ...

... on clique sur la première icône (bleue) du 1er groupe d'icônes...
... on sélectionne le train à configurer dans la fenêtre qui apparaît...

... on entre l'adresse du train, et clique sur OK.

 

Il reste à adapter la vitesse de la loco réelle, et celle de la loco virtuelle.
Cette adaptation peut se faire en modifiant les CVs de vitesse du décodeur de la loco (CV5, CV6, et CV2).

Toutefois, CDM-Rail propose une autre solution qui évite de modifier ces CVs.
Cette solution passe par l'utilisation des tables de vitesse avant et arrière, qui permet de mémoriser
les cran (DCC) de vitesse à envoyer, de 0 à 126, en fonction de la vitesse de la loco.

La procédure d'étalonnage automatique impose d'avoir préparé deux itinéraires rebouclés (CALIB_POS et
CALIB_NEG), pouvant être parcourus à vitesse constante, et décrits en sens inverses.

Cette procédure se lance en cliquant sur l'icône de test (verte) du groupe d'icônes "trains", après avoir positionné
la loco ou le train à étalonner sur l'itinéraire rebouclé CALIB_POS.

A l'issue de cette procédure d'étalonnage, le train est prêt à être utilisé en mode "RUN" complet.

Le détail de cette procédure est décrit dans le document d'introduction au mode RUN.

RETOUR EN DEBUT DE PAGE

|

|

|

|

|

ETAPE n°7: LE "RUN" COMPLET
==============================

 

POSITIONNEMENT DES TRAINS

La première (et seule) chose à faire (après s'être connecté à la centrale), avant de lancer le RUN, est de
positionner les trains à l'écran, attachés ou non à un itinéraire, aux positions correspondant aux positions
de leur équivalents réels, sur le réseau.
Attention aussi au sens: un train qui part en sens inverse de ce qu'il devrait, ça fait désordre!

Le positionnement des trains se fait comme pour la simulation

Onglet "Trains" >> "Positionner"

Puis:

  • sélectionner et positionner un par un les trains présents sur le réseau, soit depuis la galerie de tains,
    soit depuis la liste de trains (champ "Sélection de train" dans le menu de gauche),

  • Sélectionner l'itinéraire associé au train (champ "Sélection itinéraire"),

  • Cliquer sur le canton souhaité pour la position initiale du train.


Click to zoom

 

Comme, bien souvent, on a prélablement procédé à la simulation, à partir d'un contexte de placement initial
(sauvegardé au cours d'une session antérieure), le plus rapide est de restituer un de ces contextes.

Onglet "Trains" >> "Restituer un contexte Simu/Run"

 

Quel que soit le mode de positionnement choisi, le menu de RUN apparaît, et il suffit de cliquer sur le bouton
"RUN" pour lancer le pilotage du réseau réel.

Le menu se transforme, et affiche alors 6 boutons.

 

Voilà! Ca y est! Ca tourne.... Au moins jusqu'à ce que ça coince.
Mais sur un réseau soigneusement câblé, et prélablement simulé, avec des locos à bon captage de courant,
on arrive couramment à tourner plusieurs heures d'affilée, sans avoir à interrompre le fonctionnement.

RETOUR EN DEBUT DE PAGE

|

|

|

|

|

ARRETS ET REDEMARRAGES SUR PERTURBATIONS

Mais il reste toujours les "impondérables" qui font tout le charme des réseaux réels:

  • déraillements,

  • décrochages de wagons,

  • arrêts sur mauvais contact.

Les arrêts sur mauvais contacts ne posent, en principe, pas de problème particulier:
le train réel arrêté n'atteint pas la détection suivante, et donc son équivalent virtuel, sur la simulation,
reste en attente au détecteur suivant.... ce qui bloque le canton correspondant, et arrête progressivement
tous les trains qui arrivent derrière, canton par canton.
Il suffit en général de donner le "coup de pouce" au train pour sortir du mauvais contact, et tout se remet
en route progressivement, dès que les cantons se libèrent, sans autre intervention.

Le cas des déraillements et décrochages de wagons nécessite en général un arrêt, soit commandé depuis le
menu, soit fait automatiquement, dans le cas où il y a court-circuit, ce qui fait un "power off" (coupure
de l'alimentation) sur les rails.

En l'absence de court-circuit, le plus simple est de cliquer sur le bouton STOP du menu de RUN:
c'est l'ARRET D'URGENCE.

Tous les trains s'arrêtent alors immédiatement, et on peut remédier au problème. Il suffit de recliquer sur le même bouton (qui s'est transformé en bouton "GO") pour que tout redémarre automatiquement.
La case à gauche est "l'indicateur d'état".


On obtient exactement le même effet en appuyant sur la touche "espace".

En cas de court-circuit, ou si on appuie sur le bouton "PWR OFF", le comportement est différent.
Tous les trains s'arrêtent aussi immédiatement, mais leur consigne de vitesse est remise à 0.
En conséquence, lorsqu'on appuiera sur la touche "GO", les trains ne redémarreront pas.
Cette mesure est une sécurité, pour pouvoir contrôler les redémarrage sélectif des trains, si c'est nécessaire.

A ce niveau, on a donc deux possibilités:

  • soit redémarrer les trains un par un, en remettant le curseur de consigne de vitesse à sa position nominale sur
    chacun des "throttles" (contrôleurs) associés aux trains. Tous ces curseurs ont été remis à 0 par le "power off".
    Rappel: dans le cas où on n'affiche qu'un "throttle" à la fois, on passe d'un "throttle" au suivant en appuyant
    sur la touche TAB
    .

  • soit redémarrer tous les trains simultanément. Cette opération est possible depuis le menu "RUN", lorsqu'on
    affiche la rangée de boutons d'"opérations trains", en cliquant sur la 5eme icône de la première rangée
    (icône "loco"). Dans la deuxième rangée qui s'affiche, le bouton qui permet le redémarrage de tous les trains
    est le 3ème (loco avec flèche vers l'avant).

Les 4 icônes "utiles" de cette deuxième rangée sont:

  • bouton #2:
    arrêt immédiat de tous les trains, avec mise à 0 de la consigne de vitesse (loco avec "0" et cadenas ouvert).
    Le cadenas ouvert signifie que tous les verrouillages et réservations liées au trains sont libérées.

  • bouton #3:
    redémarrage de tous les trains (loco + flèche vers l'avant).

  • bouton #4:
    positionnement d'un nouveau train (loco + flèche vers le bas).

  • bouton #5:
    arrêt progressif de tous les trains sur canton suivant (loco + signal rouge).

 

RETOUR EN DEBUT DE PAGE

|

|

|

|

|

 

ARRET ET REDEMARRAGE DE SESSION

Lorsqu'on clique sur le bouton d'arrêt de "RUN", les trains s'arrêtent à leur positions actuelles, et un contexte
de simulation particulier, "_RUN_CTXT", est créé.
Le bouton d'arrêt progressif de tous les trains (bouton #5 ci-dessus), permet de faire s'arrêter les trains
"proprement", en fins de cantons, pour des positions bien nettes, en vue du redémarrage.

Ce contexte peut être restitué au cours d'une session ultérieure, pour repositionner à l'écran, les trains dans les
positions où ils sont restés sur le réseau réel.

Onglet "Trains" >> "Restituer un Contexte Simu/Run"

puis, dans la fenêtre qui apparaît, sélectionner le contexte "_RUN_CTXT": les trains sont positionnés à
l'écran comme sur le réseau (s'ils y sont restés en place depuis la session précédente).

Le menu "RUN" apparaît, et il suffit alors de cliquer sur le bouton "RUN" pour redémarrer.
NOTE: si les trains avaient été arrêtés avant d'arrêter le RUN, il faut redémarrer tous les trains,
soit individuellement par "throttle", soit globalement (bouton #3) de la rangée "opérations trains").

Après une sortie de RUN, si les trains sont restés positionnés à l'écran, pas besoin de restituer le contexte
_RUN_CTXT: il suffit de recliquer sur le bouton RUN.

RETOUR EN DEBUT DE PAGE

|

|

|

|

|

|

POUR PLUS DE DETAILS ...

... voir le manuel "INTRODUCTION AU MODE RUN "