Bonjour Claude,
Claude51 a écrit:C'est alors pour le détecteur de ZD2 qui faudrait alors cocher (A) l'option "libération aiguilles précédentes" ???
Si oui comment ce ferait-il alors que ce n'est pas ZD1 qui libérerait l'aiguillage. Serait-ce l'activation de (A) annihilerait l'action de ZD1 sur l'aiguillage.
Oui c'est bien sur ce symbole de détection (celui que j'ai colorié en rouge) qu'il faut mettre cette option pour ce sens de marche...
Sur celui de ZD1 pour l'autre sens... ce qui me permet de revenir sur cette notion de canton...
Claude51 a écrit:Pour moi je croyais avoir compris qu'un canton était composé de 2 zones de détections généralement séparées par une zone neutre. L'aiguillage, ou un gril d'aiguillages, formant quant à lui une zone neutre comprise entre 2 cantons.
Si je reprends la terminologie de composition d'un canton que tu donnes, ça voudrait dire donc que ZA appartiendrait également au canton comprenant la pleine voie déviée, alors que je pensais que des cantons étaient des entités bien distinctes.
On voit sur cette image que historiquement dans CDM canton = section... pour définir un itinéraire, ici l'on se trouve sur une fenêtre dont le titre est
"PARAMÈTRES CANTON" pour définir le CANTON, ce canton est affiché en blanc,
il est définit par 2 signaux orientés dans le même sens... mais il y a un bouton qui lui se nomme
Section inverse qui permet de définir le canton ou la section dans l'autre sens...
Ce qui change c'est que ce n'est pas la même zone d'aiguille qui est en entrée du canton. Cette confusion canton = section se retrouve dans la structure de donnée de CDM dans laquelle il n'y a pas de canton mais uniquement des sections.
La zone d'aiguille en entrée d'un canton n'a pas de détection c'est donc bien une zone neutre au niveau câblage.
Ce n'est que plus tard avec la notion de block qui a permit de faire les sections parallèles et les itinéraires à la volée que la notion de section à un peu évoluer en faisant cette distinction entre zone de grill et zone de pleine voie.
S'il n'y a pas de solutions, c'est qu'il n'y a pas de problème...
Michel.