Mais c'est bien clair maintenant?
De toute façon c'est vrai que c'est une approche très particulière: il faut s'y faire.
Alors pendant qu'on y est, je fais un petit commentaire sur la gestion des décélérations et accélérations.
Comme je l'ai dit, RRTC a un mode de calibration automatique des vitesses de la loco. Ce processus est puisant, mais long, fastidieux, et pas infaillible. D'autre part, il apparait que c'est déjà très compliqué de bien calibrer les vitesses, mais avec les accélérations, c'est à se tirer des balles.
De sorte que la tendance actuelle est de gérer toutes les accélérations et décélérations à partir du logiciel, SANS LAISSER FAIRE LE DECODEUR.
En d'autre terme, le CV3 et 4 sont à 0 (pas d'inertie).
J'en parle depuis longtemps avec l'ami Robert (qui s'est longtemps tiré des balles pour calibrer son train de jardin), et je pense que je vais m'orienter vers cette approche.
Donc les réglages de CV des décodeurs se limiterait à réduire le CV5 (vitesse max. si elle est trop élevée) et régler le CV2 au seuil de démarrage, et C'EST TOUT
le reste serait géré par CDM-Rail (via ses tables de vitesse internes, qui remplacent celle des décodeurs).
JP